Wednesday, June 11, 2008

La responsabilité sociale et environnementale des entreprises, un facteur de compétitivité

Développement durable, audits environnementaux, placements socialement responsables, commerce équitable: en quelques années, les préoccupations sociales et environnementales ont fait irruption dans le monde de l'entreprise. Face à l'émergence de défis mondiaux, les grands groupes internationaux sont dorénavant appelés à jouer un rôle de premier plan dans la lutte contre la pauvreté ou la protection de l'environnement ... Jean Michel SEVERINO

Tuesday, May 27, 2008

Faire de tous et de chacun des acteurs du changement

Une organisation qui se transforme est une organisation qui se transforme ... - Alain RONDEAU -

Monday, April 14, 2008

"La gestion du savoir-faire, préoccupation des managers ?"

D'après l'APEC, la pénurie de cadres devrait battre un record en 2008 et 2009. Avec le départ en retraite des « papy boomers », une partie du savoir-faire des entreprises pourrait bien disparaître. Parallèlement, les économistes s'accordent à dire que la concurrence mondiale oblige les entreprises à proposer des produits et des services de plus en plus sophistiqués et à multiplier le nombre de programmes marketing pour mieux cibler les différents profils de clientèle ...

Friday, April 04, 2008

Les multiples facettes du métier de chef de projet CRM

Pour faire la différence, les qualités humaines (sens de l'écoute, humilité, diplomatie...) du chef de projet CRM seront donc déterminantes et contribueront plus que jamais à la réussite (ou à l'échec) du projet dans son ensemble. Même si elles seront loin d'être les seules

Monday, March 17, 2008

Une étude de Markess International Les entreprises face à l’explosion des données non structurées

E I M : Enterprise Information Management ou le gestion de l'information d'entreprise.

Friday, February 15, 2008

Communication, information : quel outil pour accompagner le changement

Propos de Yves BRAD, délégué RH - Gaz de France

Pour tenter - modestement - de "réconciler" théoricien de la pensée systémqiue et manager opérationnel, voici un texte que j'ai voulu à la portée de tous, diffusé à des DRH lors d'une journée organisée sur le changement, en espérant qu'il contibuera à ce débat... CHANGEMENT En matière de changement voici quelques constantes qui peuvent utilement être repérées afin de faciliter le chemin…

« Donner à voir »

Un changement est une construction. Au début on ne voit que les toutes premières briques et on a ni la vision finale (le pavillon de mes rêves !), ni l’échéance exacte (quand réceptionnerai-je le chantier?) Pour lever certains freins il faut « donner à voir » (ce n’est pas pour rien que les pavillons témoin existent !). Ceci peut se faire de différentes manières : en faisant des ponts avec d’autres univers où les changements on déjà été conduits, en dessinant demain, même avec des zones d’ombre, en construisant collectivement la représentation *(voir bas de page)

Il faut également donner « un horizon repère ». On ne rassure pas en disant que le changement ne sera jamais achevé. Ce n’est pas faux en soi mais on ne parle pas de la même chose, chaque chose en son temps donnons un horizon au changement tel qu’il est perçu et visé au moment où on en parle.

« S’appuyer sur des fondations, des racines »

Un changement ne se construit pas sur du vide. Il existe des fondations, des racines que sont l’histoire et la culture du milieu dans lequel se construit le changement. Ces fondations ne doivent pas être regardées comme des obstacles. Elles peuvent être des atouts et être utilisées au service du changement. En cela, le mot rupture souvent maladroitement utilisé est plutôt néfaste. Il renvoie à une négation du passé et des individus qu’ils l’ont construit, de plus il parle du passé comme s'il avait constitué un état stable à un moment donné alors que ce passé est le fruit de multiples changements. S’appuyer sur les changements réalisés et réussis par chacun dans son passé pour aborder et dédramatiser ceux à venir constitue un moyen de dépasser les résistances naturelles. « vous avez déjà changé à de multiples reprises et vous avez à chaque fois appris des choses nouvelles et réussi ce qui au départ vous paraissait difficile»

« Associer et faire coopérer »

On ne construit pas seul, le pavillon de ses rêves ou alors on y passe une vie ! Il faut mobiliser tous les corps de métier il faut donc associer et faire coopérer l’ensemble des acteurs concernés par le changement. Plus ils auront le sentiment de participer à la construction, moins ils appréhenderont qu’elle ne s’écroule sur eux ! « Etre crédible et légitime » Mais pour entraîner d’autres personnes avec soi dans une construction dont on entrevoit juste la silhouette, il faut être crédible et légitime. Cette crédibilité et cette légitimité peuvent parfois être accordée a priori, mais souvent il faut les construire au fur et à mesure de l’avancée du chantier. « C’est en marchant qu’on fait le chemin ». Légitimité et crédibilité se gagnent au quotidien en travaillant avec les acteurs directement concernés sur des éléments concrets. C’est moins la vision portée qui fait sens que ce qu’elle produit dans l’action.

« Renoncer à tout maîtriser »

Il est illusoire (et dangereux) dans des univers complexes* (voir bas de page) d’imaginer tout planifier et tout prévoir avant. Il faut renoncer à tout maîtriser. Ceci ne veut pas dire qu’il faille se contenter de regarder la construction avancer sans intervenir. Il vaut mieux avoir dessiner les plans, organisé le partage du qui fait quoi, planifié les grandes étapes, repéré les principales variables d’actions et d’influences (je peux imaginer qu’il vaut mieux avoir fait la toiture avant l’automne, pour faire l’aménagement intérieur à l’abri).

« Rester flexible, s’adapter »

Mais il ne faut surtout pas s’enfermer d’entrée dans un carcan qui ne tolèrerait pas le moindre écart au modèle souhaité. Si en creusant les fondations on s’aperçoit que le terrain est gorgé d’eau, il faudra changer ses plans. C’est la flexibilité, la capacité des acteurs du changement à s’adapter à de nouvelles données qui interagissent entre-elles et qui non pas été intégrées au départ qui fera le succès du changement. Le changement voulu produit d’autres changements à d’autres endroits sans que les porteurs l’aient forcément identifié auparavant. La maison vient modifier l’horizon jusqu’à là ouvert des voisins…

« De l’inquiétude à l’implication »

La construction est un processus de transformation. Il faut réussir à faire passer les « acteurs », de l’inquiétude à l’appropriation puis à l’implication. Il n’est pas utile de chercher à aller plus loin. L’adhésion souvent requise relève d’une posture idéologique qui n’est possible pour certains qu’au prix de renoncements qui remettent en cause leur identité. Pour paraphraser Jürgen Habermas, on peut dire que des sujets agissants critiques mais impliqués sont souvent plus utiles que des acteurs récitants (qui font semblant). Les comportements, aussi irrationnels paraissent-ils reposent souvent sur la loyauté. Loyauté à des engagements, des valeurs, des individus… Quand on ne comprend pas le comportement de quelqu’un, il est intéressant de se demander à qui ou à quoi il est loyal en faisant ceci ou cela. (à son engagement syndical, à sa famille, à ses pairs, à ses supérieurs…). En mettant les individus devant des conflits de loyauté et en leur demandant de choisir, on les déstabilise profondément et on les entraîne très rarement. Il s’agit donc de leur permettre de changer sans « trahir » en les aidant à modifier le regard qu’il porte sur la situation.

« De la confrontation au compromis »

Les inquiétudes se fondent sur des représentations c’est à dire des visions de la réalité construites à partir de nos expériences, savoirs, modèles de pensée que nous avons reçus. Il est nécessaire que ces représentations se modifient au fur et à mesure de la transformation. Pour cela il faut qu’il y ait des confrontations afin que les visions des uns et des autres bougent et se rapprochent. - Je voulais du papier peint bleu uni, elle voulait des fleurs de toutes les couleurs, après maintes discussions nous avons choisi un papier peint bleu ciel avec de petites fleurs jaunes. finalement je trouve ça très joli Faire évoluer ses représentations conduit souvent à construire des compromis. « Reconnaître, valoriser ; responsabiliser Solliciter les individus pour qu’ils participent à un processus de transformation implique de ne pas occulter la question de la reconnaissance et de la valorisation. Le changement proposé doit être porteur d’avenir, au moins dans certaines de ses dimensions. On ne mobilise pas les salariés sur leurs peurs, dans le meilleur des cas ils font semblant. Les associer c’est les responsabiliser c’est donc déjà les reconnaître. Valoriser les réussites à chaque étape c’est engranger de la confiance pour la suite.

« Porter une croyance, des convictions »

Il ne faut pas confondre la fin et les moyens. Mettre en place une nouvelle organisation n’est pas une fin mais un moyen de satisfaire des finalités c’est à dire la raison d’être, ce vers quoi l’ensemble tend qu’il faut avoir identifié et partagé. Pour cela il faut que le porteur du changement incarne une croyance. C’est sa propre conviction dans le bien-fondé du changement qu’il posera les fondations et entraînera les protagonistes du changement à sa suite. Et demain… Enfin le changement n’est pas terminé quand la cible visée (qui s’est déplacée dans l’intervalle temps) est mise en place. Il faut continuer à porter le sens et permettre aux acteurs de s’approprier leur nouvel environnement. Yves Brard *Représentation * Elle est socialement élaborée et partagée car se constitue à partir de nos expériences, mais aussi des informations, savoirs, modèles de pensée que nous recevons et transmettons par la tradition, l'éducation et la communication sociale. · Elle a une visée pratique d'organisation, de maîtrise de l'environnement (matériel, social, conceptuel) et d'orientation des conduites et des communications. · Elle concourt à l'établissement d'une vision de la réalité commune à un ensemble social (groupe, classe, etc.) ou culturel."

* La complexité se définit comme l’impossibilité de prévoir comment l’ensemble des variables d’un système interagissent entre-elles. Cette imprévisibilité est en particulier liée au fait qu’en fonctionnant, les variables se transforment, suscitant des phénomènes d'émergence certes intelligibles, mais non toujours prévisibles. C’est l’action qui va limiter et réduire le champ des interactions donc des possibles sans qu’ils aient été au préalable identifiés. Un moteur d’avion est compliqué, un système social est complexe

Thursday, February 14, 2008

Thématiques.modernisation: Chantiers / Qu'est-ce qu'un centre de service partagé (CSP)?

Un CSP ... ? pour l'Administration !!

Un centre de service partagé : la paye, les achats, les fonctions financières, l'informatique ... mais aussi, de plus en plus, l'expertise juridique et ... la gestion de la connaissance !